La lecture de la cérémonie de mariage de cette semaine est un poème intitulé Home from Interprète irlandaise aux multiples talents, Imelda May. L’auteure-compositrice-interprète irlandaise n’est pas seulement une musicienne douée, elle utilise également sa manière étonnante avec les mots pour créer un catalogue impressionnant de poésie. L’un des poèmes les plus célèbres d’Imelda est une pièce intitulée Domicile qui est un bel hommage au véritable amour et à la véritable intimité de son album de créations orales Lapsus de langue. Cela montre que la maison ne doit pas nécessairement être un lieu, cela peut être avec une personne. La maison résume parfaitement le vœu que vous êtes sur le point de faire, car c’est une promesse d’être tout pour quelqu’un, quand il a l’impression de n’avoir rien. Si vous ne l’avez jamais lu auparavant, profitez de cette approche rafraîchissante et honnête de l’amour et de l’engagement.

Accueil par Imelda May

« Qu’est-ce que l’amour? », demandez-vous
Ma tête tourne, rappelant chaque chanson
Histoire, mots et choses glorieuses que j’ai jamais entendues
Chaque cliché résonne à mes oreilles
Comme une cloche annonçant la naissance d’un nouveau jour
Ou la mort d’hier
Ça dépend comment tu l’entends
je n’ai aucune idée
Alors je demande à l’amour, « Qu’est-ce que tu es? »
L’amour répond
Ne peux-tu pas me sentir ? je suis ici
Je suis celui qui te tient la main, te rappelant de ne pas m’oublier
Je suis la sensation de chaleur dans ton ventre quand tu ne sais pas pourquoi
Je suis le mal au cœur quand on
Quelqu’un se balance de l’autre côté d’une ambiance
Je suis le picotement sur ta peau quand c’est
Touché par la pointe d’un frisson sur lequel vous pouvez compter

Le savoir, quand tes yeux rencontrent des yeux qui reconnaissent les tiens
Et te tenir, assez lâche pour bouger librement
Mais assez serré pour ne jamais te laisser tomber
Je suis le souffle que tu inspires et que tu laisses aller jusqu’à la fin
Quand tu es tenu et que tes épaules tombent dans les bras
Vous flop qui se sentent comme une couverture de vérité
Et t’envelopper et t’apaiser
À la lune que tu pensais être dans le ciel

Je suis l’épine dorsale qui tient tout ensemble
Les vertèbres empilées les unes sur les autres
Quand tout est parti en forme de poire et mal
Je mords ta lèvre en la gardant fermée
Avalant des mots qui pourraient blesser et déchirer
Je choisis la gentillesse plutôt que d’être juste
Je suis le combat en toi quand tu ne sais pas comment
La vie en toi quand elle est partie
Je suis la vie quand je suis proche, j’espère sans peur

Je ne suis rien d’extraordinaire dans un monde dégoulinant d’or
Mais un beau bijou jamais acheté, jamais vendu
Et quand tu ouvres ton coeur et me laisse entrer seul
Tu sauras qui je suis, parce que je me sens comme chez moi

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